L’ÉQUIPE

Laure Guggenheim

Emmanuel Boucher

Photographe de studio, il a donné une dimension artistique à son bagage technologique grâce aux cours de l’École du Louvre. Pour affûter ses compétences dans le domaine technique sans quitter le monde de l’image, il a suivi le cursus du CNAM jusqu’au DEST. Patient, calme et obstiné, il a tenu le rôle de responsable R&D du projet.

Maxime Wacker

Développeur confirmé, familier d’Unix et d’OpenGL, chef de projet dans une SSLL, il est un ardent promoteur du logiciel libre. Passionné par l’image de synthèse, Il n’est plus très loin de la fin du cycle d’ingénieur au CNAM, et s’est intégré avec enthousiasme dans l’équipe, où il était en charge de la conception logicielle.

L’AMBITION

Nous avions à l'esprit plusieurs axes pour notre projet : la créatitivité spécifique de l'art pyrotechnique, l'animation synchronisée d’images 3D avec du son, l’usabilité de l'interface.

Nous souhaitions aller au-delà d’un projet d’école, pour garder en ligne de mire la réalité d’une production multimédia dans le monde réel.

Nous voulions aussi conserver un esprit de recherche : il s’agissait d’expérimenter, chacun dans son domaine, les savoirs que nous avions acquis, de les approfondir en les concrétisant.

Répartition des tâches

Laure Guggenheim a fixé les objectifs, établi les orientations, défini les priorités. Elle a pris en charge la recherche documentaire, l'étude ergonomique et les tests sur les applications 3D ; c’est elle qui a fourni les esquisses et rédigé le rapport.

Emmanuel Boucher s’est chargé de la rédaction de la plupart des comptes rendus de réunion qui nous ont permis d’avancer, et ainsi d’en garder la trace ; il a expérimenté les systèmes de particules en OpenGL., et a assuré à la fois les taches de programmation et de coordination

Maxime Wacker a développé le prototype de l'application dans laquelle les fonctionnalités que nous avons définies pouvaient s’intégrer.

Chacun a avancé de son côté, mais c’est ensemble, au cours de réunions nombreuses, que nous avons formulé des propositions, émis des critiques, avancé des hypothèses, et redessiné les contours du projet ; c’est dans la confrontation que nous avons pu évaluer l’absurdité de nos efforts ou la pertinence de nos points de vue.

Remerciements

à Jeff Yelnik et Jean-Pierre Zito, pyrotechniciens, pour le temps passé et les conseils apportés;
à Stéphane Natkin, très occupé et pourtant très attentif,
et Jérôme Dupire, Emmanuel Rio, Edwin Razafimahatratra, qui ont su alimenter notre réflexion.

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